Pourquoi je pense qu'il est impératif d'utiliser Signal Messenger au lieu de WhatsApp ou Facebook Messenger ?
Brian Acton a créé
WhatsApp
en 2009.
En 2018, le bureau de Facebook (aujourd'hui Meta) projette de pouvoir s'approprier les données personnelles de ses utilisateurs en modifiant la sécurité de l'application.
Ceci est une trahison pour l'équipe de WhatsApp. Lors de son rachat par Facebook (Meta) en 2014, il avait été convenu de ne pas en faire de modification sans respecter les valeurs morales et l'éthique de l'équipe de programmation de WhatsApp.
En 2018, Brian Acton claque la porte des bureaux de Facebook, il démissionne, dégoûté de Facebook (Meta).
Sur sa lancée, il rejoint l'équipe de programmateurs de Signal Messenger.
Il injecte immédiatement 50 millions de dollars pour transformer Signal en fondation non commerciale avec son créateur Moxie Marlinspike.
En 2021, Meta/Facebook achève de reprogrammer intégralement WhatsApp suivant son objectif commercial de 2018, celui d'exploiter commercialement vos données personnelles.
Dès lors, l'application originale "WhatsApp" n'existe plus.
Seule son apparence de messagerie en ligne reste pour tromper les usagers avec un service qui est payé avec des données personnelles complètes.
Tout ce qu'y est échangé ( textes, sons, vidéos ) est capté par le nouvel algorithme d'analyse de Meta, très certainement basé sur
leur dernier algorithme nommé "data2vec 2.0"
( "data" = donnée, "2" = vers, "vec" = vecteur ).
Meta a standardisé Facebook, Instagram et WhatsApp, pour les rendre compatibles entre elles et pouvoir créer
un seul produit commercial
fonctionnant sur tous ses réseaux.
Ce produit s'appelle Meta Business Suite ( et Manager ).
Le marché de Meta est essentiellement basé sur l'exploitation de vos données personnelles à des fins commerciales.
Des fins qui deviennent aussi politiques lorsqu'un gouvernement ou son cabinet de conseils paye Meta pour y accéder.
https://facebook.com/records/login est un accès payant de facebook dédié aux autorités des gouvernements sous contrat avec Meta.
Le 10 mai 2019 Macron recevait le PDG de facebook à l'Élysée lors d'un entretien privée dont la communication postérieure n'est pas crédible.
Les technologies Facebook (Meta) concernant l'analyse globale des usagers ne sont pas mentionnés dans les articles sur cette réunion.
Pourtant, Mark Zuckenberg (CEO de Facebook/Meta) était en tournée promotionnelle de sa future intelligence artificielle annoncée depuis au moins un ans sur Internet.
Et les autorités du gouvernement français étaient déjà clientes de Facebook (Meta) dans le cadre de la lutte anti-terroriste.
Meta sait, analyse et classe bien plus de renseignement sur ses 40 millions d'utilisateurs français que les renseignements généraux du gouvernement.
Et Meta est plus précis et plus juste dans la qualité de ses données.
Pour donner un exemple concret : en 2018, les Gilets Jaunes quittèrent Facebook pour s'organiser sur des réseaux encore sans surveillance ( Discord, Telegram, Signal ).
Suite à leur départ massif de Facebook, la Police Nationale cessera alors d'être présente bien avant eux sur les lieux de leurs propres événements.
L'assemblée générale des Gilets Jaunes fût ainsi organisée secrètement sur deux semaines dans un lieu occupé illégalement sans aucune intervention des Foces de l'Ordre.
Data2vec 2.0 est le nouvel algorithme de Meta après 5 ans de recherches et d'expériences en analyse des usagers des réseaux sociaux de Meta.
Ces recherches continuent, à chaque nouvel version, l'algorithme est plus rapide, plus précis, plus efficace.
Il a plus de fonctions et dans des domaines plus nombreux.
Les programmateurs de cet algorithme ont essayé d'imiter la pensée humaine en empilant des actions de deep-learning opérées par des IA hiérarchisées.
Pour vulgariser ce charabia :
une première IA analyse et calcule les possibilités offerte par son environnement.
Puis elle offre plusieurs choix à une deuxième IA supérieure.
Cette dernière va arriver à savoir quel bon choix faire en tirant des conclusions des conséquences de ses choix passés ; elle se modifie pour être juste et plus rapide
On peut dire qu'avec Data2Vec 2.0, Meta s'est offert en 2022 un outil
d'intuition artificielle
ou
d'auto-aprentissage
qui à le potentiel de faire de la prévision comportementale.
Il le peut sans problème en se reposant sur des analyses statistiques de la sémantique ( il "comprend" la signification ) de vos posts/interaction/commentaires/conversations privées/événements géolocalisation/rencontres/réseaux d'amis/groupes.
En se basant sur des données personnelles classées et cartographiées depuis une bonne dizaine d'années par l'ancien algorithme de Facebook.
Avec WhatsApp les choses vont encore plus loin dans la surveillance et l'analyse.
Car WhatsApp a accès au contenu de vos SMS, vos contacts et vos appels.
Le tout peut-être associé à la géolocalisation GPS, à la géolocalisation d'IP Wifi, à la géolocalisation via proximité de smartphones utilisant les applications de Meta.
Il y a eu une évolution technologique considérable entre 2018 et maintenant.
La plupart des internautes ne réalisent pas que les technologies de science fiction d'avant 2018 sont déjà en train d'être utilisées contre eux.
Meta revient en Chine après y avoir été banni.
Les lois chinoises n'ont pas changé : les plateformes sociales doivent signaler les opposants au régime totalitaire.
Voici où en est l'éthique de Meta en 2023 : 100% fascist friendly !
En France, en plus de transformer votre vie privée en marchandise commerciale, Meta sert le pire gouvernement connu depuis l'occupation.
Un gouvernement qui crache sur les représentants du peuple en les privant de tout pouvoir avec un usage systématique du 49.3.
Un gouvernement qui espionne et assigne à résidence des écologistes se battant pour le futur de nos enfants en utilisant ses lois antiterroristes.
Un gouvernement qui crève des yeux, arrache des pieds et des mains, met en prison des opposants politiques en interdisant illégalement de manifester, un droit fondamental et inaliénable.
Un gouvernement qui va jusqu'à ordonner une répression violente sur nos soignants, nos pompiers et nos enseignants alors qu'ils ne réclament que des moyens matériels pour pouvoir tous nous servir convenablement.
Un gouvernement dont la politique a doublé la fortune des milliardaires,
mais aussi le nombre de SDF (2019 = 143 000 SDF / 2020 = 300 000 SDF)
Un gouvernement en train de réaliser la mise en place d'un fascisme numérique en France, tout en violant en toute conscience le Droit Européen avec l'aide d'un Conseil Constitutionnel non démocratique et corrompu.
Dans ce cadre la base de données personnelles sur 40 millions de français que Meta lui loue à prix d'or est déjà d'une utilité précieuse, tout comme le fût la collaboration récente de Snapchat pour balancer les jeunes manifestants des cités les plus pauvres.
Que pourrez-vous faire le jour où la police vous arrêtera sous dénonciation par l'algorithme d'une entreprise sous contrat ?
Il suffit d'un 49.3 pour permettre le placement 90 heures en garde-à-vue sous dénonciation d'un réseau social corporatif (comme en Chine).
Les "politiquement déviants", "délinquants" ou "dangereux" seraient automatiquement signalés et la police viendrait vous arrêter sans ordonance préalable,juste pour un post ou des messages privés qualifiés "séparatistes" ou "écoterroristes" et donc "nécessitant" une véfication par sécurité et une saisie de tous vos objets de communication numérique.
Vous pourriez être considérez comme "écoterroriste" à cause de l'expression de vos opinions écologiques, ou à cause de certaines de vos fréquentations (sur le web comme dans la vrai vie).
La France Insoumise a été victime de ce genre d'arrestations fascistes sous simple suspicion. Il n'y avait rien de concret juridiquement pour ordonner la perquisition et saisir leurs ordinateurs et les données sensibles qu'ils contenaient.
L'algorithme peut aussi faire des erreurs, et vous dénoncer injustement suite à une analyse diaisée, ou suite à une
"hallucination d'IA" (jargon de programmateur).
Comparatif entre applications corporatives et Signal Messenger
Se moquer de sa vie privée, c'est vouloir perdre sa liberté.
Les alternatives démocratiques aux réseaux sociaux corporatifs